Le 7 décembre2024, Marie Thérèse Arzelier était l’invitée Mike Borowski sur Géopolitique Profonde.
Au programme : Les mécanismes insidieux du Great Reset, qu’elle décrypte dans son œuvre en quatre tomes, Les tontons flingueurs, le temps des assassins.
Marie Thérèse Arzelier, essayiste et conférencière, est connue pour ses analyses percutantes sur la manipulation des masses par les élites. Elle dénonce les stratégies de domination économique, culturelle et sociale utilisées pour imposer un nouvel ordre mondial. Son travail, accessible sur ses plateformes en ligne et dans ses ouvrages, fait d’elle une figure majeure des cercles souverainistes.
Comment les élites imposent le Great Reset pour remodeler nos vies
Le Great Reset n’est pas une simple théorie, mais une stratégie mondiale orchestrée. Sous couvert de nobles idéaux tels que la « reconstruction durable » et la « transition nécessaire », les élites redéfinissent les règles fondamentales structurant nos sociétés.
Derrière les promesses d’un avenir équitable se cache une volonté implacable : concentrer le pouvoir dans les mains d’une minorité tout en dépossédant les individus de leurs libertés, de leurs biens et de leur souveraineté.
Une reprogrammation globale déguisée
Chaque aspect de nos vies – éducation, travail, culture, santé – est soumis à une reprogrammation minutieuse. Les élites ambitionnent de remplacer la souveraineté des peuples par un contrôle globalisé, où l’individu devient un rouage au service d’un collectif dirigé par une technocratie internationale.
Ce projet dépasse la redistribution des richesses. Il repose sur un bouleversement des concepts de propriété et de liberté individuelle. Le slogan de Klaus Schwab « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux » illustre une économie de location universelle, où chaque citoyen devient dépendant des grandes multinationales pour ses besoins élémentaires.
L’éducation et la culture comme outils de contrôle
L’éducation, autrefois outil d’émancipation, devient une arme de formatage. Sous l’influence des institutions internationales, les programmes imposent une pensée unique, étouffant la capacité critique des nouvelles générations. Cette manipulation intellectuelle crée une population docile, prête à accepter les normes et décisions des puissants.
Parallèlement, la culture se réduit à une machine de propagande. La dissidence est muselée et les récits alternatifs écartés au profit d’une idéologie dominante. Tout ce qui s’écarte du cadre officiel est discrédité ou censuré, renforçant l’hégémonie culturelle des élites.
Une prison technologique invisible
La technologie est centrale. Via la digitalisation des services publics, les monnaies numériques des banques centrales (CBDC) et la surveillance généralisée, les élites construisent une prison invisible. Transactions, déplacements et interactions sont consignés, permettant de réguler les comportements.
Ce contrôle s’accompagne d’une attaque contre les structures traditionnelles comme la famille et la nation, perçues comme des freins à la gouvernance globale. Résultat : un monde sans repères, où les citoyens, isolés, deviennent vulnérables face à une autorité centralisée.
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Published on 2 weeks, 4 days ago
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