Le 30 novembre 2025 à 17h, Mike Borowski confrontait les Français à la vérité crue sur la guerre et la soumission de l’État aux élites atlantistes, sur GPTV Investigation.
Parole militaire : un crime en France
Les généraux André Coustou et Marc Pellizzari ont exprimé leur refus de suivre la dérive guerrière d’Emmanuel Macron face à la Russie. Dans un contexte d’alignement total sur l’OTAN, leur prise de position a été jugée « intolérable ». Ils refusent de voir la nation entraînée dans une guerre mondiale qu’ils jugent suicidaire. Cette “insubordination” révèle une fracture : une partie des cadres militaires rejette des ordres contraires à la souveraineté nationale.
La réaction du pouvoir fut immédiate : sanctions envisagées, communication verrouillée. Les médias subventionnés ont évité le sujet. Il ne s’agit pas d’un problème de discipline mais de liberté de conscience. La France sanctionne ceux qui veulent éviter la guerre et protège ceux qui l’attisent.
La rupture entre le politique et le militaire
La conférence des généraux a mis en lumière une tension profonde. L’un parle d’“un monde décérébré”, dominé par des décisions technocratiques sans vision. Le sentiment dominant : la défense de la France ne peut plus être abandonnée à une caste politique soumise à des intérêts extérieurs. Macron incarne la rupture entre commandement légitime et pouvoir autoritaire. Le rapport de confiance est rompu.
D’un côté, le pouvoir invoque l’“ordre républicain” ; de l’autre, les officiers revendiquent leur loyauté au pays réel. Macron, vu comme un président “j’ai raison, tais-toi”, centralise le pouvoir jusqu’à étouffer toute voix discordante. La fracture devient systémique : entre institutions et nation, armée et exécutif, stratégie et idéologie.
Une démocratie qui muselle ses propres sentinelles
Le Conseil d’État, saisi, n’a pas protégé la liberté d’expression des officiers, validant la soumission institutionnelle à l’exécutif. La démocratie devient un régime où tout désaccord est criminalisé. Jadis indépendante, la France est aujourd’hui prisonnière d’un alignement sans débat. Ces généraux incarnent un patriotisme lucide au sein d’un État devenu machine à faire taire.
Leur exclusion envoie un signal : l’obéissance prime sur la conscience. Or, c’est cette conscience qui fonde la légitimité d’un officier ou d’un citoyen. Ces sanctions traduisent la peur d’un pouvoir qui sent son autorité vaciller. Ce ne sont plus les fauteurs de guerre qu’on isole, mais ceux qui la refusent. L’enjeu réel : la souveraineté d’un pays capable de dire non à sa propre destruction.
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Published on 11 hours ago
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