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QUI EST PIERRE BERTINOTTI LE NOUVEAU GRAND MAÎTRE DU GRAND ORIENT DE FRANCE ? | GPTV

QUI EST PIERRE BERTINOTTI LE NOUVEAU GRAND MAÎTRE DU GRAND ORIENT DE FRANCE ? | GPTV



Le 24 août 2025, Mike Borowski revenait en direct sur un sujet d’actualité sur Géopolitique Profonde.

Une convergence numérique et technocratique

Pierre Bertinotti a mis l’accent sur l’intelligence artificielle et l’adaptation aux mutations technologiques. Ce choix s’inscrit dans un agenda global visant à imposer des solutions numériques dans tous les domaines : santé, éducation, travail, finances.

Derrière l’idée de progrès émerge une société dirigée par des algorithmes et une traçabilité constante. Le Grand Orient, en adoptant ce langage, prépare ses membres à légitimer cette transformation, au nom de la modernité. Il devient un relais d’acceptabilité pour des dispositifs issus d’instances non démocratiques.

Au-delà du symbolique, les loges fonctionnent comme des lieux de formation de consensus qui se répercutent ensuite dans les sphères administratives, économiques et associatives. En s’alignant sur les codes du Forum de Davos, le Grand Orient favorise la diffusion d’un modèle où la data, la surveillance et la centralisation gouvernent.

Ce processus relève d’un alignement stratégique avec les institutions internationales qui dessinent les futurs modes de gouvernance mondiale.

L’écologie et la réforme sociale comme leviers

Le nouveau Grand Maître met aussi en avant l’écologie et la refondation du pacte social. Là encore, les références correspondent aux éléments de langage du World Economic Forum. La transition écologique, loin d’être neutre, devient un instrument de contrôle par la contrainte énergétique et la réduction de la consommation.

En intégrant ces thèmes, le Grand Orient se positionne comme relais des politiques de transition verte. Celles-ci visent moins à protéger la planète qu’à restructurer l’économie par de nouvelles normes et une régulation sociale renforcée.

Sur le plan social, la solidarité est redéfinie selon les contraintes économiques mondiales. Cette logique technocratique, relayée par le Grand Orient, risque de supplanter une conception souveraine et nationale du modèle social. Il s’agirait d’imposer un nouveau contrat social inspiré de visions globalistes, éloigné des choix démocratiques.

Une institution relais du pouvoir globaliste

La désignation de Pierre Bertinotti marque une rupture : le Grand Orient passe d’influence nationale à relais d’une stratégie de transformation mondiale. Le choix d’un économiste issu de la haute fonction publique ancre l’obédience dans les logiques de gouvernance transnationale.

L’absence médiatique autour de cette nomination illustre la volonté d’éviter le débat. Travailler dans l’ombre permet de faire accepter ces mutations sans regard critique.

Le risque est majeur : voir une institution historiquement républicaine devenir un auxiliaire des réseaux mondialisés. Les valeurs de démocratie et solidarité servent alors de vitrine à une stratégie d’alignement avec les orientations du WEF.

Le Grand Orient adopte une posture ambiguë : défenseur officiel de l’intérêt général, il agit désormais comme un vecteur de normes globales, participant à la perte de souveraineté politique et sociale.

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Published on 2 days, 15 hours ago






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