Le 9 juin 2025, Claude Janvier, Romain Bessonnet et le Professeur Christian Perronne, étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde.
Claude Janvier est un écrivain et essayiste français connu pour ses prises de position tranchées sur des sujets de société et de politique. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages qui explorent les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales. Son dernier livre s’intitule « L’État Profond Français ».
Romain Bessonnet, spécialiste de la Russie, est le secrétaire général du Cercle Aristote et l’auteur du livre « Poutine par lui-même : la conquête du pouvoir » (éditions Jean-Cyrille Godefroy), qui plonge dans l’ascension et les stratégies du maître du Kremlin.
Le Professeur Christian Perronne est un infectiologue français, ancien chef de service à l’hôpital de Garches et spécialiste des maladies infectieuses. Il s’est distingué par ses travaux sur la maladie de Lyme et ses critiques de la gestion sanitaire, notamment durant la pandémie de Covid-19. Auteur de plusieurs ouvrages, il reste une figure controversée du débat médical.
La peur comme levier de contrôle politique
Les gouvernements occidentaux n’avaient plus qu’un levier pour maintenir l’ordre : la peur. Quand la persuasion échouait, ils imposaient. Pandémies, guerres, climat, insécurité : les menaces s’enchaînaient pour empêcher toute réflexion.
Les médias entretenaient une peur continue, devenue mode central de gouvernance. Emmanuel Macron illustrait cette mécanique avec son sommet sur les océans. Malgré des coupes dans les aides écologiques – comme la suspension de MaPrimeRénov’ –, le président appelait à « maintenir le cap ».
L’écologie servait alors de chantage émotionnel, transformée en dogme imposé, pendant que les moyens d’agir étaient supprimés. On exigeait des efforts sans offrir les outils nécessaires.
Le spectre de la guerre pour fédérer par la haine
La guerre restait un autre levier clé. Les discours alarmistes sur la Russie, répétés en boucle, visaient à désigner un ennemi extérieur. On prétendait que le Kremlin menaçait l’Europe, justifiant ainsi l’expansion de l’OTAN, l’augmentation des budgets militaires, et la répression des voix dissidentes.
La logique de guerre permanente visait à créer une obéissance par la peur. Le but n’était pas la paix, mais une soumission généralisée.
Le chaos orchestré pour écraser toute résistance
Aux États-Unis, le chaos migratoire était utilisé comme levier politique. Les troubles n’étaient pas spontanés, mais exploités pour polariser l’opinion. L’intervention de la garde nationale par Trump relevait de la mise en scène. La crise servait à légitimer un contrôle plus strict et l’état d’exception.
Simultanément, l’OMS entretenait une anxiété chronique en évoquant sans relâche nouveaux variants ou pandémies. Cette routine virale ravivait les réflexes de peur et soumettait les esprits.
La santé devenait un outil de domination. Les souvenirs des confinements et du pass sanitaire étaient ravivés pour entretenir la soumission. Les gouvernements ne proposaient plus de projets de société, mais des récits de crise. Ce régime de la peur était devenu leur seul mode de légitimation.
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Published on 1 month, 1 week ago
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