Le 31 mai 2025, le Professeur Jean-Bernard Fourtillan était l’invité de Mike Borowski, dans Le Journal des Controverses de Géopolitique Profonde !
Le Professeur Jean-Bernard Fourtillan est un pharmacologue français, connu pour ses recherches sur la valentonine. Marginalisé pour ses positions critiques envers Big Pharma, il a été interné en 2020, devenant une figure emblématique de la dissidence scientifique.
Neutraliser la dissidence scientifique par l’isolement
Les scientifiques critiques des protocoles dominants sont systématiquement marginalisés, surveillés, discrédités. L’appareil politico-médiatique joue un rôle central dans leur mise à l’écart. Dès qu’un chercheur remet en cause les modèles imposés par Big Pharma, il devient une cible : financements coupés, publications bloquées, collaborations rompues. Il ne s’agit plus de science mais de contrôle et de soumission.
Didier Raoult, malgré une carrière remarquable, en a fait les frais. Sa liberté intellectuelle lui a valu attaques judiciaires, campagnes médiatiques et sanctions administratives. Le message est clair : la science n’est libre que dans les limites fixées par l’industrie.
Les universités, dépendantes des subventions, deviennent des relais de censure. Le chercheur non conforme perd tout : crédibilité, ressources, tribune. Ce verrouillage empêche tout contre-pouvoir scientifique. Ce n’est pas seulement la liberté académique qui est en jeu, mais l’avenir de l’innovation indépendante.
Le professeur Fourtillan : interné pour avoir dérangé
Jean-Bernard Fourtillan incarne la menace que redoute l’industrie : compétence, indépendance, efficacité. Ses travaux sur la valentonine, molécule naturelle régulant l’horloge biologique, suggèrent un traitement peu coûteux, non addictif, hors du marché pharmaceutique. Une hérésie économique.
Au lieu d’un débat scientifique, il a subi l’internement psychiatrique. Privé de liberté, de communication, de recours. Ses documents saisis, ses recherches effacées. Les médias l’ont décrit comme un illuminé, sans remettre en question la répression qu’il subissait. Son crime ? Avoir prouvé qu’un traitement naturel pouvait rivaliser avec les produits brevetés.
L’État et l’industrie ont agi ensemble pour neutraliser une découverte menaçant l’ordre établi. Fourtillan est devenu l’exemple à ne pas suivre. Il dérange parce qu’il démontre.
Brevets, monopoles et sabotage médical
L’industrie pharmaceutique repose sur les brevets. Un traitement curatif naturel est une menace existentielle. Guérir devient un échec stratégique. Le professeur Fourtillan a prouvé que le système privilégie la rentabilité à la santé.
Il a testé, mesuré, publié. C’est cela qu’on lui reproche. La machine s’est mise en marche : refus d’autorisation, doute sur les protocoles, exclusion des réseaux de recherche. L’objectif n’est pas d’évaluer la validité, mais de préserver le système économique.
Dans ce modèle, la vérité médicale n’a pas sa place. Elle est traquée, censurée, détruite. Et ceux qui la portent sont abandonnés, menacés, effacés.
Le cas de Jean-Bernard Fourtillan soulève des questions sur la liberté de recherche et l'indépendance scientifique. La marginalisation des voix dissidentes et l'influence des intérêts économiques sur la science appellent à une réflexion sur les mécanismes de contrôle et de censure dans le domaine médical.
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Published on 1 month, 2 weeks ago
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