Le 27 mai 2025, Nicolas Stoquer révélait comment Macron, entre traçage, insultes, et psychiatrisation des opposants, fait basculer la France vers un État policier sous propagande inversée, sur GPTV !
Macron dérape et insulte ses opposants
Emmanuel Macron franchit un seuil dans l’outrance. Face à la polémique de la vidéo à Hanoï, il ne dément pas, il attaque. Il traite ses opposants de « maboules », « fadas », « proxies russes ». Il désigne des ennemis intérieurs, amalgamant critiques, journalistes et internautes. Chaque mot illustre un pouvoir aux abois. En évoquant des réseaux qu’il prétend avoir « tracés », il admet une stratégie de surveillance ciblée. La critique devient une menace, le doute un soupçon d’espionnage. Le discours manichéen disqualifie, isole, diabolise.
Macron généralise l'accusation d’ingérence russe pour délégitimer toute opposition. Douter, c’est trahir. L’amalgame devient une méthode. La peur, un levier. Ce n’est pas une réaction épidermique, c’est une stratégie politique : transformer l’opposition en menace sécuritaire.
Traçage et répression : un appareil de contrôle en action
Quand Macron parle de « réseaux tracés », il admet un traçage politique des dissidents. Les opposants sont géolocalisés, profilés, ciblés. L’État mobilise son appareil pour surveiller, punir, dissuader. Les cas se multiplient : Jovanovic perquisitionné, influenceurs censurés, activistes menacés. La répression n’est plus marginale, elle devient une politique publique.
Le vocabulaire présidentiel bascule dans la psychiatrisation. Dire « maboule », ce n’est pas un dérapage. C’est réduire l’opposition à la folie. Cette pathologisation signe une dérive autoritaire classique : faire du dissident un déséquilibré. Le débat n’est plus politique. Il devient médical, judiciaire, coercitif. L’opposant devient suspect, le citoyen devient cible.
Une propagande inversée pour masquer la dérive
La tactique est connue : inversion accusatoire. Ceux qui dénoncent sont accusés de complotisme. Ceux qui informent sont décrits comme dangereux. Le soupçon devient une arme. La peur, une gouvernance. Macron teste les récits. La vidéo ? D’abord « fake news », puis « blague », puis « surinterprétation ». Ce flou permet de disqualifier toute critique et d’imposer la version officielle.
Les médias relaient sans réserve. Ils reprennent la ligne de l’Élysée, ignorent les incohérences, attaquent les témoins. Le pouvoir se sert d’eux comme d’un bouclier. Le quatrième pouvoir se fond dans le premier. Les institutions restent muettes. Aucun contre-pouvoir ne réagit. Le régime opère un glissement : insultes ciblées, traçage assumé, fichage idéologique. L’opposant n’a plus sa place. La dissidence est surveillée, sanctionnée, effacée.
Ce n’est pas une gifle qui fait scandale, c’est la réaction d’un État qui bascule dans la répression douce mais systématique. La censure devient légitime, la surveillance, banale. L’ironie est suspecte, l’indépendance, coupable. Ce que révèle cette affaire, c’est la mutation d’un régime. Un État qui surveille, qui fiche, qui punit. Un pouvoir qui ne gouverne plus, mais contrôle.
Ne vous laissez plus manipuler par des élites déconnectées du réel. Découvrez la revue mensuelle Géopolitique Profonde.
https://geopolitique-profonde.com/
Published on 1 month, 2 weeks ago
If you like Podbriefly.com, please consider donating to support the ongoing development.
Donate