Le 21 mai 2025, Mike Borowski vous invitait à découvrir son reportage exclusif tourné au cœur de la manifestation LFI du 11 mai à Paris, sur GPTV Investigation.
Manifestation LFI 11 mai 2025 : une marche révélatrice de fractures idéologiques
Le cortège de La France Insoumise, qui a défilé de Bastille à Nation le 11 mai 2025 en hommage à Aboubakar Cissé, assassiné dans une mosquée du Gard, s’est révélé être une tribune idéologique marquée par l’islamo-gauchisme. Sous couvert de lutte contre l’islamophobie, la manifestation a été dominée par des slogans anti-police, des drapeaux palestiniens et une hostilité manifeste envers la République.
La convergence entre antifas, militants islamistes et figures d’ultragauche y était flagrante. Ce mélange assumé révèle une orientation politique de plus en plus hostile à l’État-nation, à la laïcité et à toute forme de pluralisme.
Agression contre GPTV : l’illustration d’un sectarisme
La couverture de l’événement par GPTV a provoqué une réaction immédiate : alors que Mike Borowski s’apprêtait à interroger Carlos Martens Bilongo, le service d’ordre insoumis est intervenu violemment. Motif ? L’organisation d’un débat entre Alain Soral et Fabrice Di Vizio par GPTV. Notre matériel a été arraché, notre équipe physiquement prise à partie. Cette agression illustre la contradiction majeure de LFI : se dire tolérant tout en censurant violemment toute voix critique.
L’imposture victimaire de LFI
LFI instrumentalise la mort d’Aboubakar Cissé pour mener une offensive politique contre les institutions françaises. Le terme flou d’« islamophobie » sert à amalgamer critique de l’islamisme et racisme, et permet d’ériger toute opposition en ennemi idéologique. Cette stratégie de victimisation s’appuie sur une rhétorique où toute question devient suspecte, toute nuance une trahison.
Le cortège, loin d’un rassemblement pluraliste, s’est transformé en vitrine pour des mouvances radicales, où toute voix divergente est muselée. La scène de l’agression contre GPTV le démontre : le débat est remplacé par l’intimidation.
Un cortège sous haute surveillance idéologique
Les manifestants affichaient clairement leur appartenance politique : drapeaux palestiniens, slogans anti-police, revendications islamistes. La diversité de pensée était absente. La pluralité a été remplacée par une ligne unique, portée par une alliance hétéroclite, mais radicalisée.
Loin d’un appel à l’unité, cette marche a renforcé les fractures. Elle confirme que certains partis utilisent le prétexte antiraciste pour légitimer des formes d’entrisme idéologique. La marginalisation des médias critiques, leur expulsion physique, révèle un sectarisme croissant, incompatible avec toute forme de débat démocratique.
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Published on 1 month, 3 weeks ago
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