Le 10 avril 2025, Oskar Freysinger, Olivier Pichon et Pierre Jovanovic étaient les invités de La Matinale animée par Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde.
Oskar Freysinger est un homme politique suisse, ancien vice-président de l’UDC et ex-député au parlement. Il a aussi exercé comme Secrétaire d’État. Désormais écrivain et chroniqueur, il présente son nouvel ouvrage Verseau, publié après Animalia (éditions Serena).
Olivier Pichon est journaliste, docteur en sociologie politique, agrégé d’histoire et d’économie. Il collabore à Politique Magazine, Euro Libertés et anime depuis 2014 l’émission « Politique & Éco » sur TV Libertés.
Pierre Jovanovic est journaliste économique, éditeur et auteur d’essais financiers, historiques et spirituels. Animateur de sa chaîne YouTube Pierre Jovanovic – La revue de presse, il vient de publier 888 : L’humour noir et les pouvoirs surnaturels du Christ. Défenseur de l’or et de l’argent métal, il décrypte un avenir économique incertain.
La guerre n’est plus un événement, mais un système.
Elle infiltre tout : économie, numérique, géopolitique. Du Proche-Orient à l’Europe de l’Est, des marchés financiers aux réseaux algorithmiques, la guerre s’est installée comme norme. Ce chaos global n’annonce pas une fin, mais l’aboutissement d’un cycle systémique.
Guerre économique : matrice de toutes les guerres
Le libre-échange, loin d’être pacifique, est une lutte déguisée. La guerre économique ne remplace pas la guerre militaire, elle la prépare. Sanctions, tarifs douaniers, embargos sont les armes nouvelles. Le « Tarif Trump » révèle la logique du système : affaiblir pour régner.
La crise de 2008 fut une alerte : la guerre changeait de forme. L’économie devient un champ de bataille algorithmique. L’objectif reste inchangé : soumettre les nations et leurs souverainetés.
La technologie, nouveau champ de bataille
Drones, satellites, cyberattaques ont remplacé les divisions blindées. La guerre est numérique, invisible, continue. Les géants technologiques (Google, Palantir, Raytheon) jouent les généraux. Le conflit n’est plus déclaré, il est programmé.
L’Est européen est un laboratoire, le Proche-Orient un terrain d’essai. À Gaza, en Ukraine, au Yémen, on teste armes et techniques de contrôle social. Le chaos n’est pas un effet collatéral : c’est une stratégie, pensée, organisée, monétisée.
L’ordre par le chaos, une stratégie planifiée
De Klaus Schwab à d’autres figures anonymes, une ingénierie du désordre s’impose. Chaque crise appelle une réponse autoritaire. L’effondrement n’est pas à éviter : il est exploité. Le Krach est voulu, intégré dans un système de domination.
Les chiffres symboliques (666, 777, 888) illustrent une ère où le chaos devient permanent. L’humanité entre dans un cycle où guerre et monde ne font plus qu’un. Le désordre n’est plus un dysfonctionnement, mais une méthode.
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Published on 3 months, 1 week ago
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