Le 24 mars 2025, Farid Dms Debah, Jean-Luc Robert et Laurence Beneux étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
Farid DMS Debah, réalisateur, producteur et écrivain, est président de l’association Touche pas à mon enfant – Europe, qui lutte contre la pédophilie et toute forme d’abus et d’exploitation sexuels. En 2024, il a initié la Grande Marche Contre la Pédocriminalité, parcourant 1 500 kilomètres à travers la France et la Belgique pour sensibiliser à cette cause.
Jean-Luc Robert, auteur et ancien psychologue spécialisé en troubles du comportement chez l’enfant, dénonce la surmédicalisation. Dans Neuro divers, il alerte sur le surdiagnostic et la marchandisation de la santé mentale.
Laurence Beneux, journaliste, a travaillé pour Le Figaro, Paris-Match, L’Express, et pour l’émission 90 minutes sur Canal+. Elle est co-auteure, avec Serge Garde, de Le Livre de la honte, les réseaux pédophiles et l’auteure de Droits des femmes et des enfants : l’intolérable indifférence.
L’impunité judiciaire des pédocriminels en France
La justice française traite trop souvent la pédocriminalité avec légèreté. Peines réduites, classements sans suite, enquêtes bâclées : le système favorise l’impunité. Le “consentement” est parfois invoqué pour des mineurs. Les peines sont faibles face au nombre de victimes, et les condamnations trop rares.
Les blocages sont structurels : formation insuffisante des magistrats, tribunaux saturés, crainte des erreurs judiciaires. La parole de l’enfant reste souvent mise en doute. Les victimes affrontent une justice lente et peu protectrice. L’indifférence institutionnelle entretient une complicité silencieuse.
Les lanceurs d’alerte sont isolés. Enseignants, éducateurs, médecins qui signalent sont peu protégés, parfois poursuivis, ce qui freine la prévention, perpétuant l’omerta.
L’ombre des élites et la complicité institutionnelle
Des membres des élites politico-médiatiques sont protégés malgré leur implication. Les cas Matzneff ou Duhamel révèlent un système de protection mutuelle, tolérant la pédocriminalité au nom d’idéologies dévoyées. Le silence dépasse la sphère religieuse.
L’inaction de l’État est organisée. Agents réintégrés, plaintes ignorées, enquêtes stoppées : les institutions protègent les puissants. Une architecture politique du silence se construit sur les connivences et les intérêts.
Des voix comme Karl Zéro dénoncent depuis des années, souvent marginalisées. Traités de complotistes malgré des preuves solides, leurs alertes sont ignorées pour mieux protéger les réseaux.
Une omerta médiatique et politique construite
Malgré des chiffres alarmants, la pédocriminalité est absente des grands médias. Un enfant sur cinq agressé, la France 3e producteur mondial d’images pédopornographiques : ces réalités sont tues. Ce silence est un choix politique.
Journalistes et rédactions pratiquent l’autocensure. La proximité avec le pouvoir verrouille le sujet. Prétexte : “protéger l’image”, “éviter les polémiques”. Résultat : une anesthésie collective.
Politiquement, rien de sérieux n’est engagéet l’État refuse d’affronter le cœur du problème. Ce silence organisé est un crime d’État.
Ce que l’élite ne veut pas que vous sachiez sur le pouvoir… découvrez le en cliquant ici.
https://geopolitique-profonde.com/
Published on 3 months, 3 weeks ago
If you like Podbriefly.com, please consider donating to support the ongoing development.
Donate