Le 24 mars 2025, Nicolas Stoquer décryptait comment Hidalgo impose une écologie punitive pour exclure les automobilistes et effacer la France des travailleurs, sur GPTV.
Hidalgo efface le Paris des travailleurs
Anne Hidalgo a méthodiquement transformé Paris en terrain hostile pour quiconque dépend de la voiture, soit la majorité des travailleurs. Sous couvert de transition écologique, elle impose un urbanisme punitif : réduction des voies, pistes cyclables inutiles, limitation du périphérique, zones à trafic limité. Ce n’est pas une adaptation mais une guerre contre ceux qui ne rentrent pas dans le moule bobo.
Rendre piétonnes 500 nouvelles rues est une accélération brutale de cette logique d’exclusion. Chaque contrainte supplémentaire sur les automobilistes est une attaque directe contre la mobilité populaire. Ceux qui vivent loin, travaillent de nuit, ou n’ont pas les moyens d’habiter le centre sont poussés à l’exode.
Hidalgo impose une vision totalitaire de la ville : fluide, verte, propre… mais artificielle, déshumanisée, débarrassée de ses classes laborieuses. Elle rêve d’un Paris-musée réservé aux fonctionnaires, touristes et militants écolo-progressistes. L’automobile, symbole de liberté, devient l’ennemi. Derrière cette croisade verte, se cache une haine sociale : celle des travailleurs.
L’automobiliste, nouveau bouc émissaire de la gauche radicale
L’automobiliste incarne aujourd’hui la France périphérique, celle qui travaille, se déplace, vit hors des quartiers huppés. Pour une gauche déconnectée, il devient la cible idéale : diabolisé, culpabilisé, persécuté.
Derrière la guerre à la voiture se cache un objectif plus vaste : remplacer le peuple historique par une clientèle idéologiquement docile. Les politiques de mobilité, de logement, de mixité sociale organisent un tri : ceux qui refusent l’idéologie dominante sont exclus, les autres sont intégrés, subventionnés, protégés. C’est la stratégie Terra Nova : diviser, casser la France populaire au profit d’un nouveau peuple urbain, communautaire, mondialisé.
Le modèle parisien est le laboratoire de cette vision. La marginalisation de l’automobile n’est pas un caprice écolo, mais un acte politique : refuser la mobilité, c’est refuser à certains le droit d’exister en ville. Hidalgo ne veut pas d’un Paris fonctionnel, mais conforme à sa vision idéologique. Une capitale vidée de ceux qui la font vivre.
Une démocratie de façade pour une dictature urbaine
Les votations citoyennes d’Hidalgo ne sont pas démocratiques, mais des outils de légitimation. Question orientée, communication biaisée, logistique décourageante, faible participation : tout est calibré pour valider une décision déjà prise.
La votation du 23 mars sur la piétonnisation de 500 rues suit ce schéma. Le projet est ficelé, les résultats connus d’avance. Cette pseudo-participation est une opération de propagande. On fait voter les convaincus, pendant que les classes populaires, épuisées, s’abstiennent. Leur silence devient alors un prétexte pour continuer.
Hidalgo ne gouverne pas, elle applique une feuille de route idéologique. Chaque votation est une étape vers un Paris hostile à la France réelle. Ce n’est plus de la gestion municipale, c’est une dictature urbaine, où la ville devient un outil de rééducation. Ce n’est plus Paris, mais une caricature post-nationale, sans mémoire, sans peuple.
Ce que l’élite ne veut pas que vous sachiez sur le pouvoir… découvrez-le en cliquant ici.
https://geopolitique-profonde.com/
Published on 3 months, 3 weeks ago
If you like Podbriefly.com, please consider donating to support the ongoing development.
Donate