Le 22 mars à 2025, Ivan Rioufol était l’invité de Nicolas Stoquer pour l'émission, Le Monde Réel, sur Géopolitique Profonde !
Ivan Rioufol est un journaliste et essayiste français, connu pour ses positions conservatrices et souverainistes. Longtemps éditorialiste au Figaro, il s’est illustré par sa critique virulente de l’idéologie progressiste, du politiquement correct et de la pensée unique.
Il dénonce régulièrement l’islamisme, l’immigration massive, la perte d’identité nationale et les dérives autoritaires du pouvoir en place. Défenseur d’une liberté d’expression sans concession, Ivan Rioufol incarne une droite intellectuelle assumée, en rupture avec les élites médiatiques dominantes.
La gestion du Covid a installé un état d’exception permanent
Le 17 mars 2020, Emmanuel Macron impose un confinement strict, amorçant un virage autoritaire majeur. Prétextant une urgence sanitaire, l’exécutif suspend les libertés fondamentales avec le soutien d’un Conseil scientifique politisé. La succession des restrictions a façonné une population docile, privée de recul critique, habituée à obéir au nom de la peur.
Le traçage numérique, les attestations, le tri entre vaccinés et non-vaccinés ont instauré un état d’exception durable. Aucun bilan sérieux n’a été établi. L’État refuse d’admettre la surestimation des risques. Le scénario de 500 000 morts n’a jamais eu lieu, mais a suffi à justifier la confiscation des droits.
Cette gestion a ancré l’idée que le pouvoir peut suspendre les libertés au nom d’une urgence. Ce modèle n’a pas disparu : il s’est institutionnalisé, sans remise en cause ni débat démocratique réel.
La propagande vaccinale a légitimé une ségrégation citoyenne
Le slogan « Tous vaccinés, tous protégés » a été le vecteur d’une propagande d’État fondée sur une vérité scientifique biaisée. Les vaccins n’ont pas empêché la transmission, mais ont servi de base à la mise en place d’un système de contrôle social par le pass sanitaire puis vaccinal.
L’accès aux services essentiels a été conditionné à une injection expérimentale. Les non-vaccinés ont été stigmatisés, écartés, désignés comme des ennemis publics. Cette ségrégation a été encouragée par les autorités, sans aucune excuse ni reconnaissance des effets indésirables pourtant bien documentés.
Le but n’était pas sanitaire, mais politique : redéfinir l’appartenance à la communauté nationale à travers l’obéissance. La crise a permis d’imposer un nouveau contrat social fondé sur la soumission.
La peur, moteur d’un pouvoir en quête de légitimité
Le Covid a servi à légitimer Macron comme chef de guerre. Une fois la menace virale passée, la peur de « l’extrême droite » a pris le relais pour disqualifier toute opposition. Toute critique est désormais assimilée à un danger : « complotiste », « prorusse », « radicalisé ».
Ce climat de tension continue sert à masquer la faiblesse du régime. Macron ne gouverne plus par consensus, mais par conflictualité. Il s’impose en rempart face au chaos qu’il entretient lui-même.
La guerre contre la Russie devient le nouveau théâtre de cette politique par la peur. Macron hystérise la diplomatie européenne pour masquer les fractures internes du pays. Comme pour le Covid, la peur sert à imposer un pouvoir sans légitimité populaire.
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Published on 3 months, 3 weeks ago
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