Le 26 décembre 2024, Nicolas Stoquer vous donnait rendez-vous sur Géopolitique Profonde, pour une analyse explosive du remplacement des vitraux de Notre-Dame de Paris voulu par Emmanuel Macron.
Une offensive idéologique déguisée en art contemporain
Les vitraux originaux, témoins uniques de l’histoire chrétienne, sont remplacés par des œuvres de Claire Tabouret, artiste reconnue pour son militantisme progressiste. Vivant à Los Angeles et soutenue par des élites culturelles, Tabouret impose une vision idéologique étrangère à l’essence chrétienne de Notre-Dame.
Ses créations évoquent des thèmes centrés sur les migrants et puisent dans l’occultisme, notamment le tarot Rider-Waite-Smith. Ce jeu ésotérique, conçu par Pamela Colman-Smith, figure de la Golden Dawn, une société secrète britannique, s’écarte profondément de la symbolique chrétienne. Ces vitraux modernes abandonnent la lumière divine pour un univers ésotérique et idéologique.
Quand l’occultisme s’immisce dans un lieu sacré
Pamela Colman-Smith, inspiratrice majeure de Tabouret, était liée à des pratiques mystiques loin de la tradition chrétienne. Contrairement au tarot de Marseille, enraciné dans la culture européenne, le Rider-Waite-Smith est associé à des rituels occultes. Le remplacement des vitraux chrétiens par des œuvres imprégnées de cette symbolique brise la continuité spirituelle de Notre-Dame et brouille son message sacré.
Cette transformation n’est pas qu’esthétique : elle reflète une agression culturelle. En adoptant ces créations modernes, les autorités renient l’identité chrétienne de la cathédrale et en font une plateforme pour une idéologie progressiste, éloignée des racines historiques et spirituelles de l’édifice.
Un projet révélateur d’une stratégie globale
Claire Tabouret, soutenue par des mécènes comme la fondation Pinault, est emblématique d’une élite artistique mondialiste. Basée à Los Angeles, haut lieu du wokisme, elle produit des œuvres engagées, déconnectées des valeurs chrétiennes. Ce choix d’artiste illustre une volonté délibérée de transformer Notre-Dame en un symbole d’universalité progressiste.
Tabouret s’appuie sur des références occultes liées à la Golden Dawn, dont les influences ont été récupérées par des mouvements extrêmes comme la Société de Thulé. Ce rapprochement entre occultisme et idéologie pose un risque inquiétant, d’autant plus lorsqu’il s’immisce dans un lieu de culte.
Une banalisation inquiétante de l’occultisme
L’introduction de symboles ésotériques dans Notre-Dame, volontaire ou non, est une provocation. La Golden Dawn, connue pour ses pratiques mêlant divination et magie, a influencé des mouvements comme la Société de Thulé, associée à des idéologies destructrices. Ces références, intégrées à un lieu aussi emblématique, brouillent dangereusement les frontières entre foi et militantisme.
En perdant ses vitraux d’origine, Notre-Dame perd aussi une partie de son âme et de son rôle comme gardienne de l’identité chrétienne.
Une atteinte à l’identité française
Notre-Dame incarne l’histoire et les racines chrétiennes de la France. Altérer ses vitraux, piliers de son architecture spirituelle, est une atteinte à ce qu’elle représente pour des millions de croyants et citoyens. Les décideurs de ce projet prennent le risque de trahir l’essence même de la cathédrale, au détriment de son unité culturelle et spirituelle.
https://geopolitique-profonde.com/
Published on 16 hours ago
If you like Podbriefly.com, please consider donating to support the ongoing development.
Donate