Le 14 décembre 2024, Mike Borowski analysait comment la HAS a préconisé l'autorisation du changement de sexe dès 16 ans, financé intégralement par l’État, au mépris des repères biologiques et de l’autorité parentale, sur Géopolitique Profonde.
La HAS pousse les jeunes à changer leur identité de genre
La Haute Autorité de santé (HAS) a décidé de rendre accessible la transition de genre dès 16 ans, financée intégralement par l’État. Cette réforme, perçue comme une légitimation de la confusion identitaire, fragilise les repères biologiques et sociaux. Elle engage les jeunes dans des parcours irréversibles fondés sur des traitements hormonaux et chirurgicaux, sans répondre à la souffrance psychologique sous-jacente.
La dysphorie de genre, une détresse mentale liée au rejet de son corps, est validée au lieu d’être traitée. Malgré l’absence de changement des chromosomes ou de la réalité biologique, cette réforme ignore les évidences scientifiques et expose des jeunes encore en quête d’identité à des interventions lourdes et destructrices.
Les études démontrent que les transitions n’éliminent pas systématiquement la souffrance psychologique. Le taux de regret et de suicide reste préoccupant, un constat occulté par la HAS au profit d’une idéologie militante, au détriment du devoir de soin et de protection.
Une manipulation des jeunes et des familles
La HAS encourage une rupture entre le corps et l’esprit en normalisant le rejet de l’identité biologique. Les réseaux sociaux amplifient cette confusion, transformant une détresse isolée en phénomène sociétal. En parallèle, l’autorité parentale est contournée par une médiation qui oblige les familles à accepter des décisions irréversibles pour leurs enfants mineurs.
Les associations militantes trans, promues et financées par l’État, jouent un rôle central dans cette réforme. Elles participent à une normalisation idéologique sous couvert de soin, écartant les résistances familiales et inscrivant la dysphorie de genre dans le cadre médical.
Des conséquences sociales inquiétantes
Cette réforme représente une agression contre les bases sociétales. Elle remplace les repères biologiques par une idéologie destructrice, légitime les troubles identitaires et affaiblit le lien familial. Les pays ayant adopté des mesures similaires constatent une augmentation des regrets, une persistance des troubles mentaux et des coûts exorbitants pour les systèmes de santé.
La France suit cette trajectoire en imposant la gratuité des traitements de transition, au détriment des soins essentiels. Loin d’être un progrès, cette réforme amplifie les troubles, fragilise les familles et détruit les fondements biologiques de la société.
Cette réforme, plus idéologique que thérapeutique, constitue une capitulation face à des pressions militantes. Elle met en danger la santé mentale et physique de nombreux jeunes, brisant l’autorité parentale et détournant les ressources publiques de leur objectif premier.
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Published on 1 week, 5 days ago
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